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Parc La Fontaine, Montréal.


Le parc est un endroit assez fantastique, tout de blanc vêtu cet espace où les arbres demeurent immarcescibles, où les étendues d’eau se changent en patinoires géantes revêt son masque blanchâtre en cette période propice. Au centre un balai artistique, méli-mélo de chutes et d’habiles figures, le bruit de la lame tranchant le givre à chaque pas est une source de plaisir, le tout dans cette nature stoïque nous accueillant sur son toit fragile. Quelle étrange communion qu’est celle, entre ce froid intense et la chaleur de l’effort. La glisse fait ressurgir de lointains souvenirs. Ceux du roller. J’ai pratiqué sévèrement. J’ai adoré, ressenti les mouvements des curves. Celui du macadam ficelé. La friction du fer sur ma platine, l’amour du 180 BS&FS. Mon poids actuel interdit la rotation complète mais le plaisir est là.
Pour 10€ on te remet le sésame, des K2 pour rider. La première séance avait des airs de promenade dominicale, mais quel plaisir ! Rien que pour cette séance de glisse, le billet valait son pesant d’or.

Vise juste !

J’ai commencé mon nouveau job. La job, comme on dit ici. Malgré ma tête de bagnard tout juste incarcéré sur mon badge, je ne suis pas déçu du tout par cette transition professionnelle, du cloud, de l’IAC, du PaaS, du temps pour la R&D, des collègues sympas et une ambiance de travail vraiment propice pour faire du bon boulot.
Je prends mes marques, petit à petit. Vendredi c’était la première activité en équipe. Le lancer de hache, bien que les débuts aient été compliqués l’activité est vraiment plaisante. Il existe une réelle satisfaction à lancer cet outil et le planter dans la cible. Il en existe deux sortes. Une petite d’environ 30 cm et sa grande sœur d’environ 60cm. L’imposante dimension de l’objet impose une rigueur dans la gestuelle appliquée pour son lancer. L’entendre fendre le panneau de bois est un plaisir indicible. L’entraîneur doit être rigoureux pour atteindre une occurrence correcte. L’activité s’avère très addictive et on s’étonne de son impatience à récupérer le Graal afin de le propulser dans les airs. Même si mes collègues québécois m’ont indiqué que cette pratique n’était pas courante, contrairement à ce que beaucoup disent, c’est une activité à faire assurément.

Des nouvelles bientôt !!!
Ne te couche pas trop tard !

Marc.


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